Bonjour à tous et à toutes,

Avec les apports de l’éducation bienveillante et de la parentalité positive qui fleurissent depuis quelques années, viennent aussi les dérives de ces approches qui mettent les parents en tension dans un nouveau dogme ou de nouvelles normes qui les coupent de la connexion à leurs propres ressentis et de leur bon sens.

Le soutien à la parentalité pourrait assez vite dévier vers l’injonction paradoxale de devenir un parent parfait, idéal si nous n’y prenons pas garde… Objectif inaténiable et intenable qui risque d’en épuiser plus d’un et de fragiliser les parents dans leur fonction et dans leur couple, là où aujourd’hui, ces derniers ont besoin de retrouver confiance, stabilité, encrage dans leur posture parentale.

Soutenir les parents aujourd’hui, mériterait donc de valider ce qui est déjà fait de bon, d’autoriser les dérapages, pour leur permettre de retrouver une tranquillité intérieure qui leur permette de vivre un lien serein et tranquille avec leur(s) enfant(s). Autoriser le parent à être un parent Vivant, avec ses faiblesses et ses richesses… voilà un piste intéressante actuellement. Aussi, je me joins aux paroles pleines de bon sens d’Hortense Jacot, conseillère conjugale et familiale à Marseille dans l’article que voici ci dessous et que je vous laisse découvrir…

La famille Ricoré (ou Cyrillus) n’existe pas